mercredi 9 avril 2008
mardi 8 avril 2008
lundi 7 avril 2008
vendredi 4 avril 2008
PARKISLAND avis. (01/11/07)
Voilà qu’une saisine finit par commencer qu’une autre se présente. C’est donc d’une conversation autour d’une possibilité de déplacer la procédure dans une école - et même celle en contrebas des escalier qui mène de la place des GRANDES RIGOLES à celle d’HENRI KRAZUKI – que le projet s’orienterait sérieusement (très soutenu par Vincent Bergerat) vers une saisine des Buttes-Chaumont, rien que cela…
Ni voyant absolument pas quoi y faire, personnellement, je trouve l’endroit idéal et donc me faisant, pour le coup, un peu secrétaire (j’adore) de Vincent, il me revient de vous avertir et de vous proposer ce nouvel opus de l’histoire de SAISINE.
Je ne savais pas que, dans ma vie, j’aurais l’occasion d’employer le mot "opus" et je ne trouve pas ça très bon comme signe, tout comme le fait de maintenir une opération qui a suffisamment « fonctionné » la première fois. Pourtant ce fonctionnement est bien relatif, on ne nous demandait rien et nous n’avons fait que ce que nous pensions devoir faire, des rencontres « objet/personne/lieu » ont été produites mais aucune dans une validité puisque aucun critère n’a été reconnu par une autorité particulière, même ponctuelle. Finalement SAISINE ATELIER commence tout juste :
J’allais à la librairie, je passais, je pensais encore à la délicate détresse de Natacha réalisant que la réécriture s’arrêtait là, qu’il n’y aurait rien de plus, plus de dérangement. Pendant près d’un an, la librairie avait été la surface d’accueil de ce qu’on lui avait demandé : trouver une place à travers les livres et les rayonnages pour notre réflexion sur un rapport au livre. Maintenant cette histoire se présente sous différentes formes dans plusieurs endroits de la librairie, les personnes qui y travaillent les connaissent à peu près toutes.
Chaque proposition est à la place la plus juste possible, c’est souvent ce qui permet le commencement, l’ouverture d’une occupation artistique, nous en sommes aussi là.
Saisine commence enfin, un an après avoir commencé.
Merci à tous.
Alors pourquoi ne pas déjà se déplacer ailleurs ?
J’avais essayé de ne pas trop le cacher : SAISINE - REECRITURE ET DERANGEMENT partait du constat d’une maladresse à l’endroit de l’intention d’exposer dans une librairie - notamment chercher des murs disponibles bien qu’impraticables et rares – et de tenter plutôt une approche discrète par la relation aux livres. Là, dans le cas d’un parc, les écueils en termes d’exposition sont encore plus consternants, mais il y a aussi de très bons exemples (oui je crois que les mauvais exemples ont toujours ma préférence…) dans le genre. La discrétion y serait même pratiquement inévitable, à moins de se risquer à l’animation.
En tout cas la difficulté d’investir les Buttes-Chaumont me paraît bien plus élevé et encore une fois, c’est pour cela que je trouve l’endroit bon.
Ni voyant absolument pas quoi y faire, personnellement, je trouve l’endroit idéal et donc me faisant, pour le coup, un peu secrétaire (j’adore) de Vincent, il me revient de vous avertir et de vous proposer ce nouvel opus de l’histoire de SAISINE.
Je ne savais pas que, dans ma vie, j’aurais l’occasion d’employer le mot "opus" et je ne trouve pas ça très bon comme signe, tout comme le fait de maintenir une opération qui a suffisamment « fonctionné » la première fois. Pourtant ce fonctionnement est bien relatif, on ne nous demandait rien et nous n’avons fait que ce que nous pensions devoir faire, des rencontres « objet/personne/lieu » ont été produites mais aucune dans une validité puisque aucun critère n’a été reconnu par une autorité particulière, même ponctuelle. Finalement SAISINE ATELIER commence tout juste :
J’allais à la librairie, je passais, je pensais encore à la délicate détresse de Natacha réalisant que la réécriture s’arrêtait là, qu’il n’y aurait rien de plus, plus de dérangement. Pendant près d’un an, la librairie avait été la surface d’accueil de ce qu’on lui avait demandé : trouver une place à travers les livres et les rayonnages pour notre réflexion sur un rapport au livre. Maintenant cette histoire se présente sous différentes formes dans plusieurs endroits de la librairie, les personnes qui y travaillent les connaissent à peu près toutes.
Chaque proposition est à la place la plus juste possible, c’est souvent ce qui permet le commencement, l’ouverture d’une occupation artistique, nous en sommes aussi là.
Saisine commence enfin, un an après avoir commencé.
Merci à tous.
Alors pourquoi ne pas déjà se déplacer ailleurs ?
J’avais essayé de ne pas trop le cacher : SAISINE - REECRITURE ET DERANGEMENT partait du constat d’une maladresse à l’endroit de l’intention d’exposer dans une librairie - notamment chercher des murs disponibles bien qu’impraticables et rares – et de tenter plutôt une approche discrète par la relation aux livres. Là, dans le cas d’un parc, les écueils en termes d’exposition sont encore plus consternants, mais il y a aussi de très bons exemples (oui je crois que les mauvais exemples ont toujours ma préférence…) dans le genre. La discrétion y serait même pratiquement inévitable, à moins de se risquer à l’animation.
En tout cas la difficulté d’investir les Buttes-Chaumont me paraît bien plus élevé et encore une fois, c’est pour cela que je trouve l’endroit bon.
sm
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